Ben Jelloun, Tahar
Le premier amour est toujours le dernier - Paris: Éditions du Seuil, 1995. - 200 p. - Points : 278 .
Ce livre raconte le déséquilibre et les malentendus entre l'homme et la femme arabes.
Les histoires qu'on y trouve ne parlent que d'amour, c'est-à-dire de solitude, de secret, et d'incompréhension. Et puis ce besoin d'amour devient vite une recherche de soi, car pour aimer l'autre, pour donner, il faut s'aimer un peu soi-même. Ce n'est pas si simple, dans un pays où la tradition et la religion aident surtout l'homme à asseoir sa petite puissance, alors même que rien ne peut s'y faire sans la femme.
Adultos
2020300303
LITERATURA AFRICANA
NOVELA
Littérature africaine Roman
Littérature
Le premier amour est toujours le dernier - Paris: Éditions du Seuil, 1995. - 200 p. - Points : 278 .
Ce livre raconte le déséquilibre et les malentendus entre l'homme et la femme arabes.
Les histoires qu'on y trouve ne parlent que d'amour, c'est-à-dire de solitude, de secret, et d'incompréhension. Et puis ce besoin d'amour devient vite une recherche de soi, car pour aimer l'autre, pour donner, il faut s'aimer un peu soi-même. Ce n'est pas si simple, dans un pays où la tradition et la religion aident surtout l'homme à asseoir sa petite puissance, alors même que rien ne peut s'y faire sans la femme.
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LITERATURA AFRICANA
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Littérature africaine Roman
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