IES en Lenguas Vivas "Juan Ramón Fernández"
Catálogo Colectivo
Vista normal Vista MARC Vista ISBD

Noces ; (suivi de) l'Été

Por: Camus, Albert, (1913-1960).
Tipo de material: materialTypeLabelLibroSeries Le Livre de Poche 2154. Editor: Paris : Gallimard, 1967Descripción: 190 p.Tema(s): LITERATURA | NOVELA | Littérature | Roman
Contenidos:
Tipasa, c'est - à 69 kilomètres d'Alger - une cité romaine dont ne subsistent que des vestiges envahis par la végétation des absinthes, des géraniums et des griffes-de-sorcière. Imaginez des ruines à pic sur une falaise que vient battre une eau claire, brasillant sous l'éclatante lumière méditerranéenne. Tel est le site magnifique où Albert Camus a célébré dans sa vingtième année ses « noces » avec la nature. Joie parfaite, toute païenne, qui le marque à jamais. Joie qui, par contrecoup, inspire le frisson de révolte de la méditation sur Le Vent à Djémila. Pourtant, là comme dans Le Désert ou les textes de L'Eté, c'est toujours l'accord de l'homme avec la terre qui est célébré. Si Camus ressent dans toutes ses fibres la majesté des ciels et des paysages, c'est sur le mode ironique tempéré de tendresse qu'il décrit la vie des cités : Alger où il a grandi, Oran où il a vécu quelques années et qu'il proclame vouée à l'ennui symbolisé par le Minotaure. Plus que l'art des cités célèbres comme Florence ou Pise, une orange sur un arbre lui donne le sentiment « d'être au monde » . Ces essais poétiques d'un philosophe humaniste ont été écrits entre 1936 et 1950. Source : Le Livre de Poche, LGF
Etiquetas de esta biblioteca: No hay etiquetas de esta biblioteca para este título.
    valoración media: 0.0 (0 votos)
Tipo de ítem Ubicación actual Signatura Estado Fecha de vencimiento Código de barras
Novelas Biblioteca de Francés del Lenguas Vivas

Biblioteca de Francés del Lenguas Vivas

Littérature. Roman. Europe Disponible f11840

Tipasa, c'est - à 69 kilomètres d'Alger - une cité romaine dont ne subsistent que des vestiges envahis par la végétation des absinthes, des géraniums et des griffes-de-sorcière.
Imaginez des ruines à pic sur une falaise que vient battre une eau claire, brasillant sous l'éclatante lumière méditerranéenne. Tel est le site magnifique où Albert Camus a célébré dans sa vingtième année ses « noces » avec la nature.
Joie parfaite, toute païenne, qui le marque à jamais. Joie qui, par contrecoup, inspire le frisson de révolte de la méditation sur Le Vent à Djémila. Pourtant, là comme dans Le Désert ou les textes de L'Eté, c'est toujours l'accord de l'homme avec la terre qui est célébré.
Si Camus ressent dans toutes ses fibres la majesté des ciels et des paysages, c'est sur le mode ironique tempéré de tendresse qu'il décrit la vie des cités : Alger où il a grandi, Oran où il a vécu quelques années et qu'il proclame vouée à l'ennui symbolisé par le Minotaure. Plus que l'art des cités célèbres comme Florence ou Pise, une orange sur un arbre lui donne le sentiment « d'être au monde » .
Ces essais poétiques d'un philosophe humaniste ont été écrits entre 1936 et 1950.
Source : Le Livre de Poche, LGF

Adultos


IES en Lenguas Vivas "Juan Ramón Fernández"
Carlos Pellegrini 1515 - C1011AAE - CABA
Tel./Fax: 4322-3992/96
https://ieslvf-caba.infd.edu.ar/sitio/

Con tecnología Koha