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040 _cAR-BaIES
100 _aRacine
_d(1639-1699)
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245 _aAndromaque
260 _bLarousse,
_c1933.
_aParis:
300 _a88 p.
440 _aClassiques Larousse
_91843
505 _aOreste aime Hermione, qui aime Pyrrhus, qui aime Andromaque, qui aime Hector, qui est mort... Pris dans une chaîne amoureuse sans issue, comment pourraient-ils s'en sortir ? De fait, quand le rideau s'ouvre, tous les éléments de l'étau tragique sont déjà prêts à se refermer sur les personnages : prisonniers de leurs passions, leur perte est inéluctable. Racine orchestre avec délectation leurs débats impuissants, leurs actions désespérées, et leur terrible fin, pour le plus grand plaisir du spectateur et du lecteur. Modèle par excellence de l'écriture classique, Racine n'en reste pas moins d'une modernité étonnante : sa peinture des rapports humains et sa connaissance du cœur amoureux touchent peut-être plus que jamais. En particulier dans Andromaque qui est sans doute, avec Phèdre, la tragédie où la passion amoureuse est la plus dévastatrice. Et sur scène, depuis sa création en 1667, le succès ininterrompu d'Andromaque est la preuve vivante de cette modernité. Pour prolonger votre lecture, et découvrir des pièces moins connues, reportez-vous au premier tome des Œuvres de Racine qui vient d'être réédité dans la Pléiade.
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