000 | 01789nam a2200241Ia 4500 | ||
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999 |
_c52767 _d52767 |
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003 | OSt | ||
005 | 20240311111733.0 | ||
008 | 170218s2003||||fr |||||||||||||| ||fre|d | ||
020 | _a9782070354993 | ||
040 | _cAR-BaIES | ||
100 |
_aLilar, Suzanne _d(1901-1992) _912914 |
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245 | _aÀ propos de Sartre et de l'amour | ||
260 |
_bGallimard, _c1984. _aParis: |
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300 | _a216 p. | ||
440 |
_aCollection Idées _n499 _912915 |
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505 | _a«Car ma découverte, de jour en jour, de page en page plus éclatante, plus flagrante, fut que Sartre est aimable. Sans doute, il a tout fait pour le cacher. Mais j'ai vécu assez pour savoir que tout ce qui vaut la peine d'être aimé se défend. Je ne m'étonne plus de ces délais, de ces paliers imposés à mon impatience. J'ai pris mon parti de cette fatalité de différement le jour où j'ai compris qu'elle est le propre de n'importe quelle initiation.» Suzanne Lilar est un des derniers grands écrivains de langue française née en Flandre. Après avoir étudié la philosophie et le droit à l'Université de Gand, elle entre dans les lettres par le journalisme. En 1954, elle obtient le prix Sainte-Beuve pour le Journal de l'analogiste, qui retient l'attention d'André Breton et de Julien Gracq. Avec La confession anonyme, roman publié sans nom d'auteur en 1960 et réédité par Gallimard, elle aborde à nouveau le thème du donjuanisme qui avait été celui de sa première pièce, Le burlador. Suzanne Lilar allait ainsi être amenée non seulement à écrire Le couple, mais à se mesurer avec la dialectique sartrienne de l'amour. [source: éditeur] | ||
521 | _aAdultos | ||
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650 | 0 |
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942 |
_2ddc _cROMAN |