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100 _aMontesquieu
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245 _aLettres persanes
260 _bLe livre de poche,
_c2006.
_aParis:
300 _a444 p.
440 _aClassiques de poche :
_n21019
_917735
505 _aUsbek, un grand seigneur persan intelligent et désabusé, accompagné de son jeune ami Rica, plus malléable et enthousiaste, vient à Paris afin de découvrir les secrets et l'art de vivre du monde occidental. Les mœurs, les caractères, les types sociaux, le décor et la vie - tout les surprend et les pousse au parallèle avec leur propre monde. Puis, une fois surmonté le premier désarroi, cette société nouvelle révèle peu à peu ses fondements et ses lois, mais également ses drames. L'étranger d'abord étonné devient observateur politique, philosophe et quasi-sociologue avant l'heure : " Comment peut-on être persan ? " Si dès leur parution en 1721, les Lettres persanes rencontrent un considérable succès, c'est qu'au-delà du roman par lettres ce livre étrange et neuf est une chronique politique en même temps qu'un journal de voyage. C'est aussi un essai de morale, mais convenons qu'en Montesquieu le moraliste est gai, et que le ton de ses lettres est volontiers narquois. Voltaire, ainsi, a pu juger que, dans cet " ouvrage de plaisanterie ", " plein de traits annoncent un esprit plus solide que son livre ". En réalité, le livre est aussi solide que l'esprit car la leçon du roman est que l'impertinence est libératrice : l'écrivain accepte le monde où il vit, mais refuse d'en être la dupe.
521 _aAdultos
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700 _aVernière, Paul
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